La haine des services publics, des secours collectifs, de l’entraide, amène à cette situation : le chaos automobile comme sur la N 118, la trombose des transports collectifs, pas d’informations si ce n’est Météo France, qui n’a pas été entendue.
Comme ils ont raison, les agents du libéralisme au pouvoir, d’entreprendre la destruction de la fonction publique. À quoi ça sert, des pompiers, des agents municipaux de la voierie, des services d’alerte et de secours, hein ?
Macron, au chaud à Ajaccio, va défendre haut et fort « l’efficience du marché ». Le vrai, le bon, le prioritaire, c’est la rentabilité des entreprises sur le marché mondialisé.
Mais les chefs d’entreprise n’ont pas laissé les salariés, hier, partir plutôt. Rentabilité oblige.
La chaîne de commandement de la République ne fonctionne qu’au service des mesures pour les riches, telle est la réalité sous la neige.
Celles et ceux qui agissent et résistent ne sont pas un épisode météo passager, ils vont s’incruster dans le paysage de chaos du macronisme de marché.