À l’appel de l’intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires, Union pirate, Solidaires étudiant.e.s et FSE, un nouveau rassemblement est prévu, ce samedi 11 janvier 2020, à 14 h, esplanade Charles-de-Gaulle, en centre-ville.
La dernière mobilisation à Rennes contre le projet de réforme des retraites avait réuni, jeudi 9 janvier 2020, 8 000 manifestants.
Parti de l’esplanade Charles-de-Gaulle, le cortège a pris l’avenue Janvier. | OUEST-FRANCE/THOMAS BREGARDIS.
« Retraites, emplois, salaires, stoppons les projets de régression sociale ! », c’est ce qui était écrit sur la banderole de l’intersyndicale, en tête de la mobilisation.
Le cortège de la manifestation est parti, un peu avant 15 h, de l’esplanade Charles-de-Gaulle.
Gilets jaunes d’un côté, syndicats de l’autre
Depuis l’esplanade, les manifestants ont rejoint l’avenue Janvier.
BTP, les transports urbains rennais… plusieurs secteurs professionnels sontreprésentés. | OUEST-FRANCE/THOMAS BREGARDIS
Puis, au niveau du pont Pasteur, le cortège s’est scindé en deux, avec les Gilets jaunes d’un côté de la Vilaine, les syndicats de l’autre.
Arrivés à République, les manifestants se sont mis à genoux, les mains derrière les têtes en « signe de protestation contre les violences policières ».
Jusqu’ici, la manifestation se déroule dans le calme. Le diablotin de la CGT fait le show sur le podium mobile du syndicat. L’ambiance est plutôt bon enfant.
Pour le moment, notre rédaction compte environ 4 000 manifestants. C’est moitié moins que lors de la manifestation du jeudi 9 janvier 2020. Ce matin, à Saint-Malo, ils étaient 500 .
Le cortège sur les quais, en direction de la place de Bretagne. | OUEST-FRANCE/TOMAS BREGARDIS.
De leur côté, les syndicats avancent le chiffre de 5 000. A 16 h, les manifestants poursuivaient leur marche dans les rues de la capitale bretonne. | OUEST-FRANCE/THOMAS BREGARDIS.
De leur côté, les syndicats avancent le chiffre de 5 000.
Un peu avant 16 h, les manifestants poursuivaient leur marche dans les rues de la capitale bretonne, puis direction l’esplanade Charles-de-Gaulle où la manifestation devait trouver son épilogue.