Une manifestation en soutien aux Atsem, en février 2021. Photo d’illustration. (CLEMENTZ MICHEL / MAXPPP)
Préparer les activités avec la maîtresse, consoler les enfants quand ils pleurent, les accompagner aux toilettes, surveiller la récré et la sieste, leur apprendre à manger et à débarrasser. Et après tout cela, parfois faire le ménage dans la classe. Les journées de Maria, Atsem en Seine-Saint-Denis, sont interminables. « Tout est chronométré, à la minute. Et on ne tient pas compte qu’en face, on a des enfants et pas des objets, explique-t-elle. Donc il y a tous les imprévus : les pipis, les malades, les bobos etc… »
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Publié le 04/09/2022 17:38
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