À Strasbourg, des femmes témoignent de dérèglements hormonaux après leur exposition au gaz lacrymogène

Jade (prénom modifié à sa demande), 31 ans, est chercheuse à l’Université de Strasbourg. Elle était présente lors du jet de gaz lacrymogène qui a eu lieu au milieu du cortège de la manifestation du lundi 20 mars, sur les quais des Bateliers. Retrouvée coincée entre deux nuages de gaz, elle suit paniquée un groupe d’une quarantaine de manifestants dans une cour d’immeuble pour se réfugier. Impression de suffoquer, étoiles dans les yeux, vertiges et fortes nausées, elle sort de la cour une vingtaine de minutes plus tard lorsque ces effets se sont calmés. Suite à ce premier gazage, elle remarque immédiatement un « gros mal de ventre ».

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