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1. Des limites du numérique -. Ce n’est pas tant une affaire de compétences ou d’aptitude qu’une affaire de flux, de sens et de foi. Dans un monde où les flux de communication se sont multipliés, le sens du contenu s’est perdu. Voter numériquement est un acte non religieux, au sens premier du terme (non liant). Or le vote est une religion. Pour que le vote soit un acte de communion collective, il faut de la chaleur humaine. Donc un vote physique, avec des gens, une urne, du papier, des gestes, la saisie des bulletins, le passage par l’isoloir… C’est le sens donné par le contact humain qui réchauffe. On peut dire en souriant que la chaleur humaine est la première des énergies renouvelables. Mais c’est surtout la garantie d’une démocratie fonctionnelle. C’est un point qu’on a perdu de vue depuis un moment. Avec les conséquences désastreuses qu’on voit partout. Le parti-pris du tout numérique est dommageable et dangereux. Le vote doit demeurer un acte de foi du citoyen démocrate et laïc.

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2. Le chemin des validations est un peu long par internet (x3) mais pratique car se fait aussi bien du bureau qu’au domicile.
   La durée d’une semaine d’ouverture scrutin était correcte

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   1. Merci pour vos commentaires.

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3. pas de soucis particuliers
   dommage, pas d’échanges possible avec les collègues
   si on n’est pas investi personnellement, aucune motivation à voter

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   1. Merci pour vos commentaires.

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4. Bonjour,
   J’ai pu voter car j’ai du matériel informatique de disponible.
   J’ai croisé des agents qui ne savaient pas comment voter car dépourvus de PC. Ce n’est pas normal. Il faudrait laisser à disposition plus de postes informatiques afin que tous les agents puissent participer au scrutin sans se poser de question.
   merci

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   1. Merci pour vos commentaires.

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